RENCONTRE/EXPOSITION. JEUDI 22 JANVIER A 20H A LA GALERIE 28BIS (28BIS BOULEVARD DE BONNE NOUVELLE, Xe). ENTREE LIBRE.
Venez découvrir le projet architectural de la résidence élaboré par l’agence AAU ANASTAS, ainsi que des oeuvres de Valérie Jouve, Basma Alsharif et de Rebecca Topakian.
A propos de l’agence AAU ANASTAS :
L’atelier d’architecture et d’urbanisme Anastas est basé à Paris et Bethléem. La philosophie AAU ANASTAS est fondée sur la recherche de la qualité associée au développement durable et à une inscription dans la communauté locale. Pour el-Atlal, AAU ANASTAS travaille sur la conception, fabrication et réalisation de la résidence d’artistes. Le projet résultera d’une recherche menée, au sein de SCALES département de recherche de AAU ANASTAS, sur la construction de voutes en pierre à l’aide de nouvelles techniques de simulations et de fabrications.A propos de Rebecca Topakian : Diplômée de philosophie et de géographie en 2010, Rebecca Topakian est aujourd’hui en dernière année à l’École Nationale Supérieure de la Photographie à Arles. Son travail s’articule autour de la notion de singularité en communauté et sur la possibilité de son jaillissement dans des contextes sociaux oppressifs. Après des séries photographiques sur la jeunesse rebelle cubaine et les à-côtés de tournages pornographiques, Rebecca a travaillé sur un projet en Palestine en juillet 2014.
A propos de Basma Alsharif : Basma Alsharif est vidéaste, cinéaste et réalisatrice de documentaires expérimentaux. Né au Kuweit, d’origine palestinienne, ayant fait ses études aux Etats-Unis, son œuvre a été exposée à Paris, New York, Berlin ou Jérusalem. Mais c’est la terre où elle n’a jamais vécue qui inspire la plupart des films de Basma Alsharif : la Palestine de ses parents, des exilés qui la racontent, de la mer et du soleil de Gaza. Jeudi, nous aurons le plaisir de diffuser trois de ses films.
A propos de Valérie Jouve : Ethnologue de formation, photographe et cinéaste, Valérie Jouve interroge dans ses créations le rapport entre les hommes et leur territoire, le lien entre un personnage et son paysage, la façon dont le corps habite, hante un espace, comment il en disparaît. Cette quête artistique l’a menée à filmer, photographier des endroits tels que Marseille, Rotterdam, le Guatemala et la Palestine. Alors que son exposition inspirée par la ville de Jéricho, « Cinq femmes du pays de la lune » vient de s’achever au MAC/VAL et que le musée du Jeu de Paume inaugure une rétrospective de son œuvre en juin, Valérie Jouve nous fait l’honneur d’être parmi nous jeudi soir.