Samedi, c’est journée dabkeh*
DANSE. *toute référence à un tube à la qualité musicale discutable des années 1990 est purement fortuite. « La dabkeh, ou en arabe coup de pied/frappe du pied, est une danse traditionnelle connue au Levant, avec plusieurs versions régionales. C’est une danse de groupe en ligne où les danseuses et danseurs se tiennent les mains et frappent le sol fortement. Elle est le plus souvent dansée dans les mariages, les banquets et les fêtes occasionnelles. Le meneur de la dabkeh entraîne avec lui la danse et les autres danseurs. Il est appelé ras (chef) et est autorisé à improviser sa danse. Il tient à la main un collier de perles, le masbaha (ou suivant la région, un tissu enroulé blanc) et le fait tourner en l’air pendant que les autres danseurs donnent le rythme. Les danseurs poussent parfois des cris pour donner de l’énergie à la danse et l’accentuer. La plus connue au Liban est la Dalouna, et la légende raconte que cette danse est née de l’entraide que les villageois s’apportaient entre eux. Leurs maisons traditionnelles construites avec de la pierre, avaient des toits composés de bois, de paille et de terre battue qu’ils devaient compacter et « piétiner » uniformément, ce qui donnait toujours l’occasion d’organiser une fête » (un peu comme la danse bretonne quoi !, NDU).
* Stage de dabkeh et de percussion, samedi 16 novembre et dimanche 17 novembre de 10h30 à 13h30 et de 14h30 à 17h30 aux Ateliers du Mouvement Oriental, Foyer de l’AEPP, 4 rue Titon (XIe, métro Faidherbe-Chaligny). Tarifs : 120 € pour le stage complet, 75 € pour la journée et 40 € pour la demi-journée. Informations ici et là (+ Facebook) et inscription à baghdadi@cdo-dansesorientales.com ou au 01 43 06 63 57 / 06 64 93 21 92.
Ustaza à Paris 