Découvrir de nouveaux talents, suivre ses artistes préférés, comparer, s’étonner, apprendre…cette année vous pourrez tout savoir de l’industrie cinématographique arabe présente au Festival de Cannes sans poser un pied sur la Croisette ! Avantages : pas de coups de soleil, pas de slalom entre les badauds, pas de course aux invitations. Inconvénients : pas de marches, pas de glamour d’un jour, pas de bulles…
DFI at Cannes Film Festival 2011 : le cinéma arabe, mais aussi américain ou indien est mis à l’honneur par le Doha Film Institute, un des plus dynamiques parmi la vague des institutions à caractère culturel et à vocation panarabe créées ces dernières années dans le Golfe.
A 35mm de Beyrouth : le guide professionnel du cinéma au Liban s’installe à Cannes pour la deuxième année consécutive, avec dans ses paniers des entretiens parfois exclusifs avec des cinéastes et réalisateurs libanais aux profils très différents. En une, la journée libanaise organisée par l’Office du Tourisme du Liban à Paris pour la sélection au festival du dernier film de Nadine Labaki.